the burning boys - yejun
Hwang Minho
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Hwang Minho
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Date d'inscription : 14/07/2024Hwang Minho
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My super power : communique avec les fruits & les légumes après avoir croqué une bouchée ce qui lui donne accès aux souvenirs et aux perceptions de l’aliment, révélant des détails sur ce qui s’est passé autour de luiHwang Minho
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gems reputation : the burning boys
Il faisait chaud ce jour-là, un de ces jours où le soleil semble rire aux éclats, comme pour encourager un petit homme à courir encore plus vite & à donner tout ce qu'il a, même si, au fond, il ne savait pas vraiment ce qu’il faisait. Les entraînements, ça n’avait jamais été son truc. Il préférait laisser libre cours à son imagination et qui vivra verra. Ses pieds s’emmêlaient, ses bras faisaient des mouvements désordonnés, et son souffle, court depuis déjà longtemps, ressemblait à une série de petits éclats de rire nerveux.
Minho ajusta maladroitement ses pinces à linge sur ses doigts, se donnant des airs de super-espion dans une scène dramatique à la James Bond. Le cœur battant à toute allure, il plissa les yeux, concentré sur sa mission secrète : atteindre la cible — un vieil arbre bancal au fond de la cour, à moitié caché par des buissons. Son imagination bouillonnait d'idées héroïques.
Il s'élança avec une agilité incertaine, ses gestes désordonnés manquant de coordination. Chaque lancer de pince à linge était accompagné d'un bruit exagéré qu'il faisait lui-même, imitant des sons d'armes sophistiquées. « Tous à couvert ! » Sa première arme dévia largement de la cible, atterrissant dans l'herbe avec un « ploc » inaudible, mais dans son esprit cela avait la forme d'une explosion impressionnante.
« Je suis Bond, Minho Bond ! » 007 se voyait en pleine scène d'action, sautant sur des toits pour déjouer le super vilain Professeur Roo. Chaque échec de lancer était pour lui une manœuvre tactique habile. Il effectua une roulade au sol pour se redresser, mais perdit son équilibre et tomba lourdement sur les fesses. Ça ne l’arrêta pas. Il se redressa d’un bond maladroit, balayant la poussière de son pantalon.
« Pas de souci, tout fait partie du plan » dit-il à voix haute, s'adressant à un public imaginaire. À force de se lancer dans tous les sens, il s’était fait une sorte de circuit personnel, là, dans cette cour de béton. Entre deux cabrioles et trois maladresses, il leva les yeux et aperçut, au loin, une silhouette immobile. Un garçon, debout, le regard rivé sur lui. Un frisson parcourut son échine — pas de peur, mais d’une gêne inexplicable. Ce garçon-là, il l’observait, mais depuis combien de temps ? « Eh ! Tu veux ma photo ? »
Minho ajusta maladroitement ses pinces à linge sur ses doigts, se donnant des airs de super-espion dans une scène dramatique à la James Bond. Le cœur battant à toute allure, il plissa les yeux, concentré sur sa mission secrète : atteindre la cible — un vieil arbre bancal au fond de la cour, à moitié caché par des buissons. Son imagination bouillonnait d'idées héroïques.
Il s'élança avec une agilité incertaine, ses gestes désordonnés manquant de coordination. Chaque lancer de pince à linge était accompagné d'un bruit exagéré qu'il faisait lui-même, imitant des sons d'armes sophistiquées. « Tous à couvert ! » Sa première arme dévia largement de la cible, atterrissant dans l'herbe avec un « ploc » inaudible, mais dans son esprit cela avait la forme d'une explosion impressionnante.
« Je suis Bond, Minho Bond ! » 007 se voyait en pleine scène d'action, sautant sur des toits pour déjouer le super vilain Professeur Roo. Chaque échec de lancer était pour lui une manœuvre tactique habile. Il effectua une roulade au sol pour se redresser, mais perdit son équilibre et tomba lourdement sur les fesses. Ça ne l’arrêta pas. Il se redressa d’un bond maladroit, balayant la poussière de son pantalon.
« Pas de souci, tout fait partie du plan » dit-il à voix haute, s'adressant à un public imaginaire. À force de se lancer dans tous les sens, il s’était fait une sorte de circuit personnel, là, dans cette cour de béton. Entre deux cabrioles et trois maladresses, il leva les yeux et aperçut, au loin, une silhouette immobile. Un garçon, debout, le regard rivé sur lui. Un frisson parcourut son échine — pas de peur, mais d’une gêne inexplicable. Ce garçon-là, il l’observait, mais depuis combien de temps ? « Eh ! Tu veux ma photo ? »